(photo Sirpa Air)
L'escadron d'hélicoptères 3/67 Parisis de Villacoublay fêtera en septembre ses 50 années d'existence. Ses
mécanos ont déjà bûché le sujet avec cette livrée spéciale adoptée sur un Fennec.
Tout le monde ne sera pas là pour souffler les bougies : le Parisis arme un détachement à Abidjan (Côte d'Ivoire) et fournit équipages et hélicoptère à Bangui. Il sera d'ailleurs en charge du commandement du détachement dans quelques semaines.
L'engagement du Fennec en Centrafrique sanctionne le niveau atteint depuis des années par les équipages de cet escadron qui travaille en silence, mais travaille. En 1995, ce n'était essentiellement qu'un escadron de liaison, sans spécialité.
En Centrafrique, l'unité, comme son équivalent à Orange, participe à des missions ISR et d'appui-feu, au sein du détachement multicapteurs.
En France, le Paris est, au quotidien, en charge de deux alertes : la permanence opérationnelle (police du ciel) et la recherche et sauvetage terrestre (Saterre). Il a notamment participé au 14 juillet dernier, et en juin, à la protection du 70e anniversaire du D-DAY.
Tout le monde ne sera pas là pour souffler les bougies : le Parisis arme un détachement à Abidjan (Côte d'Ivoire) et fournit équipages et hélicoptère à Bangui. Il sera d'ailleurs en charge du commandement du détachement dans quelques semaines.
L'engagement du Fennec en Centrafrique sanctionne le niveau atteint depuis des années par les équipages de cet escadron qui travaille en silence, mais travaille. En 1995, ce n'était essentiellement qu'un escadron de liaison, sans spécialité.
En Centrafrique, l'unité, comme son équivalent à Orange, participe à des missions ISR et d'appui-feu, au sein du détachement multicapteurs.
En France, le Paris est, au quotidien, en charge de deux alertes : la permanence opérationnelle (police du ciel) et la recherche et sauvetage terrestre (Saterre). Il a notamment participé au 14 juillet dernier, et en juin, à la protection du 70e anniversaire du D-DAY.
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