Il y a 50 ans, Air France installait le cinéma à bord de ses avions.
Longtemps, l'idée sembla improbable, tant les premières cabines s'y
prêtaient peu. Trop étroites pour y installer un projecteur, bruyantes,
soumises aux turbulences. Changement de décor après la Seconde Guerre
mondiale.
Le 7ème art s’invite à bord
Sur des vols longs parfois de vingt heures, des distractions s'imposent et le cinéma tombe sous le sens, plus populaire que jamais. C’est en 1966 que l’on assiste à la projection du premier film à bord. L’innovation se généralise, une vingtaine de Boeing 707 sont équipés : projecteurs dissimulés dans le plafond, écrans escamotables répartis dans la cabine. Grâce à des écouteurs individuels - payants en classe éco - les passagers choisissent leur bande son, anglaise ou française. Deux films sont prévus sur les longs trajets, comme Paris-Tokyo. Viva Maria de Louis Malle ouvre la programmation en mai 1966 entre Paris et New York. Outre le cinéma, une large gamme de distractions en vol est alors proposée allant de la musique symphonique en stéréophonie aux commentaires d’informations, la variété de l’offre justifie l’appellation de « Festival en plein ciel ».
De la séance collective à l’écran individuel
A la fin des années 90, les projections collectives, qui encombrent la cabine, sont peu à peu remplacées par des vidéo-projections, sur écrans individuels. Chaque mois, une offre renouvelée d'une centaine de films et de séries est disponible tout au long du voyage. Avec plus de 38 000 fauteuils équipés sur les vols long-courriers et jusqu’à 1.200 heures de programmation offerte par mois, Air France est aujourd'hui l'une des plus grandes salles de cinéma au monde !
Le 7ème art s’invite à bord
Sur des vols longs parfois de vingt heures, des distractions s'imposent et le cinéma tombe sous le sens, plus populaire que jamais. C’est en 1966 que l’on assiste à la projection du premier film à bord. L’innovation se généralise, une vingtaine de Boeing 707 sont équipés : projecteurs dissimulés dans le plafond, écrans escamotables répartis dans la cabine. Grâce à des écouteurs individuels - payants en classe éco - les passagers choisissent leur bande son, anglaise ou française. Deux films sont prévus sur les longs trajets, comme Paris-Tokyo. Viva Maria de Louis Malle ouvre la programmation en mai 1966 entre Paris et New York. Outre le cinéma, une large gamme de distractions en vol est alors proposée allant de la musique symphonique en stéréophonie aux commentaires d’informations, la variété de l’offre justifie l’appellation de « Festival en plein ciel ».
De la séance collective à l’écran individuel
A la fin des années 90, les projections collectives, qui encombrent la cabine, sont peu à peu remplacées par des vidéo-projections, sur écrans individuels. Chaque mois, une offre renouvelée d'une centaine de films et de séries est disponible tout au long du voyage. Avec plus de 38 000 fauteuils équipés sur les vols long-courriers et jusqu’à 1.200 heures de programmation offerte par mois, Air France est aujourd'hui l'une des plus grandes salles de cinéma au monde !
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