samedi 30 mars 2013

Tornado "Good Bye Lechfeld"



le dernier Tornado de la base aérienne de Lechfeld, décoré pour son dernier vol au départ de cette base.
Suite à la restructuration des forces allemandes, ce Tornado opérera dorénavant au départ d'une autre base, au Schleswig Holstein

vendredi 29 mars 2013

lumières des rotors : Kopp-Etchells effect

CH-47 Chinook
Picture: Sgt Michael J MacLeod/US Army/MCT Photo

un ajout d'infos, le 27 juillet 2013 
ce phénomène a été baptisé effet Kopp-Etchells, par le photojournaliste  Michael Yon
du nom de deux soldats tombés en Afghanistan, U.S. Army Ranger Benjamin Kopp et Joseph Etchells, du Royal Regiment of Fusiliers
 
 http://www.dailymail.co.uk/news/article-2379932/Mesmerizing-halo-effect-caused-blades-landing-combat-helicopters-named-honor-fallen-soldiers.html

http://www.michaelyon-online.com/the-kopp-etchells-effect.htm

jeudi 28 mars 2013

Boeing B747 : Play Station

Le Concorde fait escale à Mortagne-au-Perche.


Le Concorde se posera à Mortagne-au-Perche, le temps d'une journée, le samedi 13 avril.



CONCORDE un jour, Concorde toujours… Nicole Méneveux fut hôtesse de l’air chez Air France de 1963 à 1992. Le 1er juillet 1976, elle effectue son premier vol à bord du Concorde sur la ligne Paris-Rio de Janeiro. Le coup de foudre. «Ce premier vol en supersonique fut un enchantement, explique Nicole Méneveux. J’ai ressenti très vite que j’allais être amoureuse de cette merveille de technologie».

Nombreux témoignages

Samedi 13 avril, le mythique Concorde fera une escale à Mortagne-au-Perche. L’association des professionnels du Concorde et du Supersonique (APCOS) propose une journée dédiée à cet avion devenu culte. L’ancien palais de justice va accueillir des expositions, des témoignages, des objets divers, des jeux pour les enfants… Et même un simulateur de vol qui permettra de voir décoller et atterrir le “bel oiseau blanc”. À l’heure du goûter, une conférence sera proposée par Pierre Grange (président de l’association et ancien pilote) et Annick Moyal (ancienne hôtesse de l’air) : en prenant comme fil conducteur un vol Paris-New-York, ils feront revivre au public l’aventure supersonique. Toute la journée, pilotes, mécaniciens, navigants et hôtesses de l’air seront présents afin de parler de “leur” Concorde.

Des petits hublots

Après avoir volé sur la Caravelle, avion produit également par l’association Sud-Aviation, Nicole Méneveux est sélectionnée pour voler sur le Concorde. «À l’époque, nos instructeurs faisaient une sélection sur dossier. Ce n’est qu’à partir de 1982-85 que le personnel a pu postuler… Pour être pris, il fallait un dossier irréprochable, avoir quelques lettres de félicitations de passagers, être toujours disponible. Bref être marié avec Air France ! Quand j’ai vu le petit mot dans mon casier, j’étais très heureuse.» Après une formation de huit jours, la jeune hôtesse de l’air découvre l’habitacle du Concorde le 1er juillet 1976 : «un appareil étroit, des hublots de petite taille, une allée centrale et deux fauteuils très confortables de chaque côté pour une cabine d’environ quarante mètres de long. Une configuration qui me convenait. J’ai volé à bord du Boeing 747 et j’en garde un mauvais souvenir. Là au contraire, le service était très personnalisé car il y avait beaucoup d’habitués et une certaine complicité régnait entre les collègues. On se connaissait tous car nous étions peu à l’époque à voler sur le Concorde
Tandis que les passagers discutaient facilement, le personnel naviguant était à leurs petits soins, décryptant leurs attentes. Le Concorde, une image du luxe à la française. Pas un vol ordinaire mais bien une autre façon de voyager, entre très haute technologie et grand confort.

«Quel bruit !»

À la retraite depuis 1992, l’ancienne hôtesse de l’air rêve encore chaque semaine de “son” Concorde. «J’ai volé sur tous les vols réguliers et j’ai eu le privilège d’effectuer le premier vol commercial sur New-York le 22 novembre 1977. La longue bataille pour se poser sur Kennedy Airport était gagnée, quelle joie pour nous tous !». Nicole a également effectué plusieurs tours du monde, qui sans lui faire tourner la tête continuent de la faire rêver.«Chaque décollage était phénoménal. Quel bruit ! Je l’entends encore…» Mais que de larmes versées en ce fatidique 25 juillet 2000 (le Concorde s’écrase sur Gonesse, faisant 113 morts). «Ce jour-là, nous avons tous pleuré : nous venions de perdre nos amis et notre grand amour». Le dernier Concorde a volé en 2003.

Pratique : conférence donnée par Pierre Grange, président de l’association des professionnels du Concorde et du Supersonique (APCOS), “Concorde, le mythe” samedi 13 avril à 16h, salle de l’ancien palais de justice de Mortagne. Toute la journée, animations, expositions et simulation de vol (10h-18h).

Tarbes. L'extraordinaire aventure des pilotes aveugles.


L'image est floue puis, petit à petit, elle s'envole vers l'éclaircissement, celui d'un hangar dont les portes s'ouvrent sur les avions. C'est ainsi que débute le film de présentation d'une association pas comme les autres : celle de ces fous du pilotage avec leurs drôles de cannes blanches.
Les Mirauds volants ont choisi de se réunir à Tarbes pour la première fois, à l'occasion de leur 13e assemblée générale, après avoir visité l'atelier de montage du TBM850 à la Socata. Aussi incroyable que vraie, l'histoire des Mirauds volants est bel et bien celle de pilotes d'avion aveugles ou mal-voyants. En 1999, le fondateur, Patrice Radiguet, a créé une association unique au monde dont le siège social se situe à Saint-Etienne. «C'est une question de choix et de passion, il vaut mieux vivre ses rêves que de rêver sa vie», s'est exprimé Patrice Radiguet, président élu. Les difficultés n'auront pas eu raison de la volonté d'une équipe réunie qui a mené le rêve à la réalité. Les Mirauds volants se déplacent dans les aéro-clubs pour former les candidats au pilotage. Alors comment devient-on un pilote sans la vue ? Le secret se nomme Soundflyer, ce dispositif sonore et vocal de conduite de vol se décline en deux versions : celle qui équipe tous les aéronefs (planeurs, avions, ULM) et celle qui entraîne les pilotes au sol sous forme de simulateurs. Les élèves suivent un apprentissage de 15 à 18 heures sur le simulateur avant de se rendre dans un aéro-club avec un instructeur. L'élève peut alors décoller aux côtés de l'instructeur qui sera ses yeux tout au long du vol mais il ne faut pas s'y tromper, l'élève se situe bien à la place du pilote et prend les commandes de l'aéronef, d'où la petite note d'humour d'un membre du bureau, «lorsque l'on atterrit dans un aéro-club, les gens sont très surpris de voir une personne sortir de l'avion avec une canne blanche d'autant plus qu'il était assis à la place du pilote !». Pas moins de 158 pilotes ont été formés à ce jour avec un pourcentage de femmes qui atteint presque les 30 % alors que la FFA (Fédération française aéronautique) n'en compte que 7 %, les Miraudes volantes arrivent en force ! Présente sur les salons à travers la France, dont Le Bourget, l'association participe également à des visites, des forums, des rassemblements, une dynamique à l'image de ses membres. «Nous sommes très heureux de notre rapport d'activité et quand on le voit, cela fait du bien. Nous sommes montés en puissance au niveau des demandes et nous récoltons les fruits de treize ans de travail», a ajouté le président. Le bilan de l'année passée affiche 205 heures de vol dont 182 heures en avion, 5 heures en ULM et 18 heures en planeur. L'année 2013 débute avec deux outils de communications présentés par Patrice Radiguet : un film reportage, «Un Ciel pour deux regards», en collaboration avec Brian Pigot, et la sortie de son livre, «Mirauds d'accord, mais pilotes d'abord !», aux éditions Volez, qui raconte l'histoire d'un rêve fou, une aventure humaine unique en son genre, une volonté de vivre sa vie.
«Piloter, cela peut être quelque chose d'extraordinaire mais ça l'est aussi pour quelqu'un de valide», ont affirmé modestement les pilotes présents.
Site internet: www.mirauds-volants.com

Air Caraibes : Va pas falloir traîner au lit.....

À l’occasion de l’inauguration de son nouveau comptoir de ventes situé à Orly Sud, Air Caraïbes vous propose du 1er au 5 avril 2013 inclus de 8h à 12h, 50 billets aller/retour par jour au tarif exceptionnel de 100€ TTC*, valable au départ de Paris Orly Sud vers l’ensemble de ses destinations transatlantiques (Martinique, Guadeloupe, Guyane, Saint-Martin, République dominicaine, Haïti).
Ces billets sont exclusivement en vente au nouveau comptoir de la compagnie situé près de la porte G à Orly Sud entre le 1er et le 5 avril 2013.

Conditions de l'offre.


Offre susceptible de modification sans préavis et soumise à conditions, limitée à 50 billets par jour au départ de Paris Orly Sud vers les destinations transatlantiques (Fort-de-France, Pointe-à-Pitre, Cayenne, Saint-Martin, Saint-Domingue et Port-au-Prince), en classe économique, applicable sous réserve de disponibilités, hors périodes de vacances scolaires et selon les dates de voyage prédéfinies par la compagnie.

Offre non modifiable, non remboursable, non cumulable (1 billet par personne), proposée uniquement au comptoir ventes de la compagnie à Orly Sud de 8h à 12h, du 1er au 05 avril 2013 inclus. Offre valable uniquement pour les personnes désirant voyager et se présentant au comptoir ventes de la compagnie à Orly Sud munies d’un justificatif d’identité sur place. Offre ne permettant pas le cumul de miles.

Tarif TTC A/R par personne frais de service non inclus, accessible au grand public uniquement, à l’exclusion des salariés des compagnies aériennes, agences de voyages et tour-opérateurs ainsi qu’à toute personne bénéficiant de billets à tarifs réduits au titre de la Résolution IATA PSC 788.

mercredi 27 mars 2013

Dulces El Avion



depuis 1929 à Logroño, Espagne



allez...Une petite pirouette..et je reviens..pas !!!

plus de peur que de mal...pour ce pilote !!

Un avion CESSNA 172 s'est renversé ce matin au décollage à l'aéroport de Rockliffe.

L'avion a heurté un banc de neige avant de se retourner et atterrir à l'envers dans la neige, à
côté de la piste.
Les pompiers avaient reçu l'appel à 10H21.
Le pilote de l'avion - seul à bord- est sorti indemne avec quelques blessures mineures.

http://www.expressottawa.ca/Actualit%C3%A9s/2013-03-26/article-3207990/Un-avion-se-renverse/1

Alençon : un retraité se construit un avion.

A Saint-Germain-du-Corbéis, près d'Alençon dans l'Orne, un pilote sexagénaire s'est lancé dans un grand projet : construire tout seul son avion à quatre places.


Gérard Leconte, avionneur amateur, n'est pas un cas unique en France. Ils sont des milliers de passionnés dans l'hexagone à se lancer dans cette aventure exigeante. Car construire un avion est une école de méthode, de minutie et de patience. 

C'est en assistant à un meeting aérien que Gérard Leconte a attrapé le virus de l'aviation il y a 25 ans.
Cet ancien professeur de mécanique en lycée technique a démarré le chantier il y a plus de 20 ans. Il a usiné lui-même chaque pièce de son futur avion. 
Il avance doucement mais sûrement. Il a déjà travaillé 6500 heures ! Et il ne s'est jamais découragé ...
Son quadriplace de 540kg aura une autonomie de 1500 km. Gérard espère le faire voler d'ici un an. 
http://basse-normandie.france3.fr/2013/03/10/alencon-un-retraite-se-construit-un-avion-213399.html

lundi 25 mars 2013

L'incroyable voyage d'un appareil photo à la mer....


Après la bouteille à la mer, voici l’appareil photo qui dérive dans l’océan. Un boîtier numérique, perdu il y a six ans par une famille sur l’île de Maui à Hawaï, a été retrouvé en février dernier à Taïwan, à l’autre bout du Pacifique. Soit un voyage de… 8 300km au milieu des courants marins.
Une découverte rendue publique samedi par China Airlines, dont un employé a trouvé par hasard l’appareil échoué sur une plage.
La compagnie aérienne a donc décidé de lancer une campagne pour retrouver ses propriétairesen leur offrant un billet pour venir le chercher.
Si l’appareil, qui était contenu dans un boîtier étanche, a vécu de multiples chocs, des coquillages s’y étant même accrochés, sa carte mémoire est intacte livrant de précieux clichés de son ou ses propriétaire(s).
Les photos dévoilent des indices laissant supposer qu’il s’agit d’Américains, venus plonger à Kannapali, un site réputé de l’archipel d’Hawaï, en août 2007.
Les images sont diffusées sur le net pour retrouver les propriétaires qui auront droit à des vacances gratuites grâce à leur appareil perdu.

samedi 23 mars 2013

Maureen Dunlop, convoyeuse de l'Air Transport Auxiliary (ATA)




Née en Argentine de parents australien et britannique elle est élevée dans un milieu d'éleveurs de bétail. Elle apprend à piloter dès son plus jeune âge et lors du déclenchement de la Deuxième Guerre Mondiale, elle décide d'y prendre part. Elle effectue les 500 heures (deux fois plus que pour les hommes...) de pilotage solo nécessaires pour postuler à un poste dans l'Air Transport Auxiliary (ATA).
En 1942, elle rejoint l'Angleterre et cette unité, dont feront partie 164 femmes pilotes. Les 800 heures qu'elle accumulera alors l'amèneront à piloter des Spitfire, Mustang, Typhoon et Wellington. Son avion préféré sera le de Havilland Mosquito.
Elle rejoint une unité entièrement féminine de convoyage à Hamble, qui s'occupait uniquement de la livraison de Spitfire. 
C'est à sa descente d'un Fairey Barracuda qu'elle a été photographiée.


A la fin de la guerre, elle passa son diplôme d'instructeur de pilotage dans la RAF, avant de revenir en Argentine. Elle y exerça la fonction d'instructeur, puis de pilote commercial, avec un passage obligé dans la Force Aérienne Argentine. Elle continua à voler jusqu'en 1969, en ayant une participation dans une société d'avions-taxis.
Elle termine sa vie en 2012 dans le Norfolk, avec un élevage de chevaux pur-sang.

En 2003, elle est une des trois femmes pilotes de l'ATA à recevoir la récompense de Master Air Pilot Award, offert par la Guild of Air Pilots and Air Navigators

Maureen Dunlop de Popp, par Wikipedia

IceBridge avec le P-3B de la NASA


Mission Ice Bridge

IceBridge est une mission sur 6 ans de la NASA pour l'étude de la glace sur le globe terrestre. Elle a pour but l'étude en 3D de la glace en Arctique et Antarctique.
Ice, Cloud and Land Elevation Satellite (ICESat) en orbite depuis 2003 a cessé d'envoyer ses données en 2009 et son remplaçant ICESat-2 ne sera en service qu'au début 2016. La mission permet de combler le vide laissé entretemps.
Des mesures par voie aérienne sont effectuées une fois par an au dessus du Groenland de mars à mai et au-dessus de l'Antarctique en octobre/novembre.
 P-3B




jeudi 21 mars 2013

De la mer à la Lune : Apollo 11


Le fondateur d'Amazon, Jeff Bezos a annoncé que son équipe avait remonté du fond de l'océan 2 des moteurs du lanceur Saturn du programme Apollo 11.
Retrouvés à 4267 mètres, les éléments, toujours propriété de la NASA seront traités contre la corrosion afin d'être exposés au Museum of Flight  de Seattle, USA.

Portrait du jour : Laurence, infirmière à Roissy.

Une passagère blessée à la jambe en tombant au moment de son embarquement, une personne en réanimation, un voyageur venu se faire vacciner contre la fièvre jaune… Il suffit de passer quelques minutes dans le Centre médical de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, ouvert en 1974 et situé au niveau des arrivées du Terminal 2F, pour avoir un petit aperçu du quotidien de la quarantaine de médecins, infirmières et ambulanciers de Roissy. Parmi eux, Laurence, infirmière depuis trente ans dans le plus grand aéroport d’Europe.

Des journées très variées.
 c’est exactement ce qui a poussé Laurence à venir travailler à Roissy. Cette voyageuse, aujourd’hui coordinatrice, aime entendre les annonces de départs imminents à destination de tous les pays du monde qu’égrainent régulièrement les haut-parleurs de l’aéroport. Elles rythment ses journées, faîtes de rencontres diverses, de sonorités et langues du monde entier.

La suite...
http://www.air-journal.fr/2012-11-15-laurence-infirmiere-a-roissy-560680.html

Dallas met le feu à un A380....


L’aéroport de Dallas – Fort Worth a célébré la réouverture de son centre de recherche et d’entrainement pour la lutte contre les incendies en mettant le feu à un modèle d’Airbus A380.
Seule la présence de deux rangées de hublots permettait d’identifier l’appareil comme un A380, mais l’exercice mené le 19 mars 2013 à l’aéroport américain était très sérieux. Quelques secondes après le départ de l’incendie, les pompiers de Dallas – Fort Worth arrosaient les portes avant de l’avion de façon à permettre l’évacuation des passagers – qui « seront peut-être couverts de mousse mais seront vivants », pour reprendre l’expression d’un des acteurs de l’exercice. La structure en acier du vrai-faux superjumbo a coûté quelques 4 millions de dollars, et est la seule du genre disponible aux Etats-Unis pour l’entrainement aux situations d’urgence. « Configurée » en trois classes avec escaliers et soute, elle dispose de capteurs mesurant quand il y a eu assez d’eau pour éteindre l’incendie, ce dernier « alimenté » par du carburant d’aviation ou du propane réagissant aux actions des pompiers.

Le responsable du bataillon de pompiers à Dallas – Fort Worth Randall Rhodes a rappelé au Wall Street Journal les trois principes fondamentaux des interventions de pompiers, dont le cockpit est la première cible : d’abord les manettes de gaz (qui doivent être à zéro pour que le carburant n’arrive plus aux réacteurs), ensuite les extincteurs et enfin les batteries qui doivent être déconnectées. Une manœuvre répétée au milieu d’épaisses fumées « qui devrait être accomplie les yeux fermés », ajoute-t-il.
Selon le communiqué du gestionnaire de DFW, le Fire Training Reasearch Center (FRTC) qui vient de subir un an de travaux pour 29 millions de dollars « est l’un des meilleurs centres au monde pour la recherche et l’entrainement des pompiers d’aéroport ». Il dispose désormais de nouvelles classes, d’un nouveau centre de contrôle et de plus de « fire pits », et a accueilli depuis sa création en 1995 des équipes de pompiers venus de 24 pays. Sa création avait été décidée en 1988 après le deuxième accident mortel en trois ans à l’aéroport (vol 1141 de Delta Air Lines, 15 morts à l’atterrissage et 93 survivants).

mercredi 20 mars 2013

Jouets d'enfant

Le jeune Noel , résidant à Dallas, Texas

Portrait du Jour : Valérie Senentz, directrice du terminal sud d'Orly.

De son bureau, la splendide vue circulaire sur les pistes d’Orly impressionne toujours ceux qu’elle reçoit, dit-elle. Elle, c’est Valérie Senentz, directrice du Terminal Sud de Paris Orly depuis 2010, l’une des rares femmes d’Aéroports de Paris à avoir un poste de directrice d’unités opérationnelles, l’autre femme étant Catherine Dufournet, directrice du terminal 2 E de Paris Charles de Gaulle (CDG). Titulaire d’une maîtrise de gestion et d’un DESS en « organisation et ressources humaines », Valérie Senentz a suivi un parcours en cabinet de conseil, puis a travaillé au sein d’Aéroports de Paris sur des fonctions support de conduite de projets. Elle s’est notamment occupée de la restructuration des activités d’assistance en escale et de l’introduction en bourse d’Aéroports de Paris. Elle encadre un peu plus de 400 personnes, hors activités sous-traitées comme le nettoyage ou l’inspection filtrage, ces dernières activités représentant un peu plus de 800 personnes.



La suite ici :
http://www.air-journal.fr/2013-03-19-valerie-senentz-directrice-du-terminal-sud-dorly-569634.html

Traquer une comète à bord d'un avion.


Invisible à l'oeil nu, la comète Pan-STARRS passe en ce moment à proximité de la Terre. Pour l'observer distinctement et sans télescope, la compagnie aérienne Air Berlin a proposé samedi un vol inédit pour l'observer.

Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo.
Quand d'autres partaient pour Londres ou Moscou, quelques dizaines d'Allemands ont embarqué pour les étoiles, samedi. Deux heures à 11.000 mètres d'altitude, dans l'obscurité la plus totale, pour pouvoir observer et photographier la comète Pan-STARRS.

Ce corps lumineux fait de glace et de poussière passe en ce moment à proximité de la Terre, mais il est invisible à l'oeil nu. Pour l'observer directement et sans télescope, la compagnie aérienne Air Berlin a donc proposé un vol inédit pour pouvoir l'observer.

Trois cent soixante euros par passager

Coût de ce vol inédit: 360 euros par passager. Mais pour les astronomes amateurs, l'expérience en valait bien la peine.

"C'est extraordinaire, témoignait ainsi l'un d'eux durant le voyage. C'est très intéressant de voir la comète au dessus des nuages car ici, le ciel est totalement dégagé, on la voit de manière beaucoup plus claire, c'est génial!"

Et l'expérience sera peut-être renouvelée dans quelques mois: une nouvelle comète,encore plus grande, est attendue en novembre.

mardi 19 mars 2013

Rock and Roll, la Lune vue par GRAIL...

Une image de la Lune vue par les deux satellites du programme GRAIL Gravity Recovery and Interior Laboratory
avec en bleu, les régions de faible gravité et en rouge, celles de forte gravité.
Les analyses ont permis de détecter une couche superficielle d'une quarantaine de km d'épaissseur et un noyau dont la composition serait très semblable à la Terre.
Ebb and Flow, les deux satellites scientifiques, ont été précipités sur la Lune à la fin de leur mission

lundi 18 mars 2013

Un verre ça va...deux bouteilles, bonjour les dégâts !


Abus de bouteilles de vin sur un vol d’Air France.


Combien de verres de vin, voire combien de bouteilles, un passager peut-il demander à bord d’un vol d’Air France ?
Ce 22 février 2013 sur le vol AF132 de Paris à Wuhan  en Chine, deux passagers chinois ont demandé chacun deux bouteilles de vin et auraient ensuite dérobé sept à huit autres bouteilles dans le chariot des repas. Indignée par le comportement de ses deux compatriotes, Wen Fei, une Chinoise expatriée à Paris, intervient mais se fait insulter et menacer par les deux malotrus.
Wen Fei est ses deux enfants sont assis aux sièges 24J, 24K et 24L. Elle raconte en détail : avant le dîner, le passager du siège 23J quitte sa place pour aller chercher deux bouteilles de vin où les hôtesses de l’air préparent le repas pour les passagers. En regagnant son siège, cet homme dit à l’homme assis au siège 24H de prendre également deux bouteilles. Plus tard, quand les hôtesses servent les autres passagers, l’homme du siège 23J prend, à deux reprises, 7 ou 8 bouteilles de vin posées sur le chariot des repas. «Je leur ai dit que ce n’était pas correct et interprété les explications en Français de l’équipage. Mais ils ont répondu que ce n’était pas mes affaires»témoigne Wen Fei au South China Morning Post«Ils m’ont dit de faire marche arrière si je voulais quitter Wuhan en un seul morceau».
A son arrivée à Wuhan, Wen Fei prend discrètement en photo l’un des deux malotrus dans l’aérogare et raconte l’anecdote sur son blog en chinois. Aujourd’hui, les deux accusés font l’objet d’une cyber-traque par les internautes chinois. Sur le blog de Wen Fei, des internautes chinois dénoncent le comportement des deux voleurs de vin. «Les Chinois sont toujours bruyants et ne respectent pas les files d’attente pour prendre un vol – même si tout le monde a un siège« , écrit un internaute chinois. «Ils ont l’habitude de « voler » des gens en Chine et maintenant ils commencent à appliquer cette habitude ailleurs», commente un autre internaute, laissant entendre que les deux voleurs de vin seraient des cadres puissants du Parti communiste chinois.

Le portrait du jour : Latifa Fadouach


Latifa Fadouach, commandant de bord à la Royal Air Maroc.


La femme qui fait voler des Boeing 737.Elle est devenue commandant de bord en 2005, troisième marocaine à ce grade après Bouchra Bernoussi et feue Oumaima Sayeh.


A l’occasion de la journée mondiale de la femme, Royal Air Maroc a rendu hommage à son personnel féminin en confiant deux vols reliant Casablanca et Paris à un personnel strictement féminin. Une manière de démontrer les capacités de ses ressources humaines femmes et de leur reconnaître leur contribution au développement de la compagnie. Elles sont nombreuses dans le personnel navigant commercial et l’effectif en général, mais sont en nombre réduit chez les pilotes, dont très peu de commandants de bord. Latifa Fadouach est l’une des rares femmes à arborer ce grade dans la compagnie nationale. Cadette d’une fratrie comprenant deux frères et trois sœurs, elle naît et grandit à Casablanca. Elle y poursuit ses études et y vit une enfance qu’elle qualifie de très équilibrée grâce à l’éducation qu’elle reçoit de ses parents. «Nos parents nous avaient toujours traités de la même manière et éduqués dans le respect de l’autre, le partage et l’échange. Ce qui fait que je n’ai jamais ressenti de différence liée au genre entre mes frères et moi». Cette parité et équité dans laquelle elle baigne depuis son enfance lui facilitera, de son propre aveu, la tâche et l’aide à exprimer tout son potentiel dans son parcours et ses études. Elle décroche donc en 1985 son baccalauréat en sciences mathématiques au Lycée Chaouki des jeunes filles et intègre les classes préparatoires pour deux ans.
4 000 heures de vol et quelques années d’attente avant de décrocher le graal
A ce moment, toutes les portes lui sont ouvertes, mais la jeune Latifa n’a pas encore tranché quant à son avenir. Ingénierie ? Pharmacie ? Une annonce parue dans un journal attire son attention et lui permet de réaliser un vieux rêve d’enfance. Latifa Fadouach caressait depuis toute petite le rêve de devenir pilote. Elle se rappelle d’ailleurs de la bande dessinée qu’elle lisait souvent qui retraçait les aventures de Jerry Drake, alias Mister No, pilote d’un piper en Amazonie. «Il m’arrivait souvent de m’allonger dans le jardin avec mon frère pour regarder les avions voler dans le ciel. On était fascinés par les trainées de condensation qu’ils laissaient et on se posait des questions sur leur destination, leur altitude, …», se souvient-elle. Elle passe donc le concours en 1987 avec 399 autres candidats. Ils ne seront que sept à être reçus. Elle garde de très bons souvenirs de sa formation. «Je me rappelle qu’on avait un chef pilote chevronné qui nous avait fait pendant le dernier vol de test des acrobaties avec l’appareil. A un moment donné je me retrouve sur le dos de l’avion, uniquement maintenue sur mon siège par les harnais de sécurité. Lui très à l’aise m’a demandé si tout allait bien et moi impressionnée essayait de faire bonne figure en répondant que tout allait pour le mieux», raconte-t-elle. Entre théorie et pratique, la formation dure 4 ans. «Durant les deux premières années, il y a énormément de certificats à préparer au début. Ce n’est que pendant les deux dernières années que l’on commence réellement à apprendre le métier». Elle commence avec ses collègues de promotion par un petit avion avec un instructeur avant d’être «lâchée» au bout d’un certain nombre d’heures de vol pour le premier vol solo. Le sien se passera en 1990 aux commandes d’un TB - 20 Trinidad, un avion à hélices monomoteur. L’expérience est unique ! Une navigation à vue avec comme seul repère les indicateurs de l’avion et une carte sur les genoux qui retrace le trajet tant de fois répétés en tête et préparé minutieusement. Une fois ce premier vol effectué, tout s’enchaîne rapidement. En 1992, elle se retrouve à bord de son premier vol commercial toujours en adaptation avec un instructeur avant d’être réellement «lâchée» au bout de 4 à 6 mois. Ce n’est pas pour autant que le pilote devient totalement indépendant puisque tout au long de la carrière, il suit des formations et subit des contrôles de connaissances sur des procédures normales et des procédures en cas d’urgence avec, chaque année, un exercice en ligne et deux sur simulateur. Latifa Fadouach a commencé ses vols sur le Boeing 727 avant de passer au 737 sous toutes ses variantes. Il a fallu cependant attendre pour devenir commandant de bord. «Il faut cumuler 4 000 heures de vol, mais tant qu’il n’y a pas de départs en retraite et tant que la flotte aérienne est maintenue, on reste toujours à la place droite, même si le nombre d’heures réglementaires est dépassé», explique-t-elle.
Le fait d’avoir un conjoint commandant de bord lui facilite la tâche
En 2005, une place se libère. La compagnie lance une offre de stage de formation. Latifa Fadouach est retenue et devient ainsi la troisième femme marocaine commandant de bord après Bouchra Bernoussi et feue Oumaima Sayeh.  
Au sol, Latifa Fadouach est une mère de famille normale avec trois petites filles. «Certes, avec mon travail, je ne suis pas toujours présente mais j’ai la chance d’être avec un conjoint également commandant de bord qui comprend les impératifs et les contraintes du métier». Et pour les enfants ? «On essaie de leur donner le maximum, mais il faut dire aussi qu’ils sont nés dans cet environnement et pour elles, il est tout à fait normal que papa ou maman s’absente souvent et doit quitter inopinément le soir ou le matin. On se permet toutefois de faire notre sport dès qu’on arrive». Le couple est d’ailleurs friand de sports alpins et ne rate pas une occasion pour aller skier avec les enfants. Latifa Fadouach reste passionnée de son métier et déclare qu’au-delà de la sensation de liberté et des sensations fortes qu’il procure, il faut toujours garder en tête que le pilote est là pour maîtriser l’avion et amener à bon port et en toute sécurité les passagers ou la marchandise qu’il transporte.

Un convoi hors-norme : Transall C-160


L’impressionnant fuselage d’un Transall C-160 traverse aujourd’hui le Thouarsais. Mais l’étape la plus délicate du voyage reste à venir, avec le contournement de Niort, demain.


Trente-trois mètres de long, 6,50 m de large, 5,60 m de haut : c'est bien un avion que les habitants de la petite commune de Pas-de-Jeu, près de Thouars, vont voir passer sous leurs fenêtres, ce lundi matin. Il s'agit pour être précis du fuselage d'un Transall C-160, dont le périple a commencé il y a une semaine.
Parti de Bricy, dans le Loiret, ce beau bébé de 16 tonnes doit rejoindre le camp militaire de Martignas-sur-Jalles, en Gironde, où il commencera une seconde vie. Cloué au sol, il servira d'exercice au 13e Régiment de dragons parachutistes (RDP), une unité des forces spéciales Terre spécialisée dans la recherche du renseignement par des moyens humains.
Niort, l'étape la plus délicate de l'itinéraire
En attendant, le voyage s'annonce long et délicat, tout particulièrement en Deux-Sèvres. Un itinéraire que Franck Rouvera, motard guideur professionnel, prépare depuis des mois, en collaboration avec les services du conseil général. Sa société, GPFC, basée à Alès, dans le Gard, est spécialisée dans la protection, la sécurisation, l'assistance et l'escorte de transports exceptionnels. Et celui-ci en est un : « Nous assurons le transport d'éoliennes, de bateaux, de véhicules de travaux publics. Tous sont particulièrement hauts, longs ou larges. Ce fuselage est tout ça à la fois ! détaille Franck Rouvera. Il s'agit vraiment d'un convoi hors normes ».
Le cortège qui accompagne l'avion n'est pas moins impressionnant : avec, dans l'ordre d'apparition, deux motos conduites par des guideurs professionnels chargés d'ouvrir la route, une voiture pilote avec démonteur de panneaux et système pour remonter les fils électriques et un camion remorque. A l'arrière, un remonteur de panneaux et une voiture pilote avec télécommande ferment la marche. Après un passage par Bressuire, Moncoutant et Coulonges, Franck Rouvera ne cache pas que Niort sera, mardi, l'étape la plus compliquée de ces trois semaines de périple.
 " Vraiment un convoi hors normes "
Le convoi devra contourner la ville en pleine journée, entre 9 h et 16 h. Au programme, plusieurs passages délicats comme la prise de bretelles d'accès à contresens et en marche arrière. Le patron de GPFC espère toutefois passer Niort sans encombres en quatre heures et demie. « Les gens s'impatientent vite et il ne faut pas traîner. Mais on fait de notre mieux ! » L'équipe devrait pouvoir souffler un peu jusqu'en Charente : dans l'une des communes traversées, l'avion sans ailes n'aura que huit petits centimètres de marge de manœuvre de chaque côté. Pour couronner le tout, il fera nuit.
pratique
Les motos jaunes équipées de gyrophares orange qui escortent l'imposant convoi se montreront vers 9 h, demain mardi, à Niort. Elles emprunteront la route de Coulonges, via la RD 744, avant de contourner la ville par l'ouest. Pour cela, le cortège rejoindra le boulevard de l'Atlantique (RD 850), puis circulera avenue Wellingborough, rue Sainte-Claire-Deville, rue Pied-de-Fond, boulevard Louis-Tardy, puis s'engagera avenue de Saint-Jean-d'Angély. Le convoi poursuivra ensuite sa descente vers le sud, direction les Charentes et la Gironde.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2013/03/18/Un-avion-de-16-tonnes-sur-les-routes-du-departement-1374733

les pilotes dévoilent leurs meilleures adresses...


Deux commandants de bord d’Asnières-sur-Oise ont créé un site Internet recensant les bons plans dégottés dans le monde entier.

Commandants de bord dans une grande compagnie aérienne, Philippe Lacroûte (à gauche) et Jean-Michel Buffet ont créé un site Internet dans lequel ils dévoilent les bonnes adresses glanées lors de leurs voyages à travers le monde.

Quand, il y a plusieurs années, les capitaines Jean-Michel Buffet et Philippe Lacroûte, tous deux pilotes de ligne pour une grande compagnie française, se croisent dans un cockpit d’Airbus, ils échangent autour de leurs découvertes culinaires respectives de par le monde. C’est le point de départ, à 10000 m d’altitude, d’une belle aventure qui aboutit à la création d’un site Internet, un guide où ils répertorient, avec l’aide de leurs collègues navigants, toutes leurs bonnes adresses sur de la planète.
Et avec leurs patronymes évocateurs, ils n’ont pas eu besoin d’aller chercher très loin le nom : cela sera Lacroûte & Buffet*.

« L’idée est de faire découvrir aux gens, principalement aux grands voyageurs qui seront notre cible, mais aussi à toutes les personnes curieuses, tout ce qui nourrit le corps et l’esprit », explique Captain Buffet (c’est comme cela qu’ils se surnomment entre eux), la cinquantaine épanouie malgré sa petite mine due au décalage horaire.

« Je reviens tout juste de Bogotá en Colombie », s’excuse-t-il, en se frottant le visage, chez lui à Asnières-sur-Oise. Puis de s’exclamer : « Tiens, je vais vous faire goûter une fourmi grosses fesses! Les locaux, là-bas, la dégustent grillée. C’est le pur caviar de leur apéritif. » A travers cette expérience inédite, on comprend alors tout de suite l’état d’esprit qui anime ce grand passionné d’aviation, de cuisine et « de bonnes choses ».

« Nous ne voulons pas lancer un énième site de bons plans restos comme il en existe déjà beaucoup, insiste Jean-Michel Buffet. Nous indiquons nos découvertes gastronomiques, des restaurants typiques ou atypiques. Ce n’est pas forcément l’étoilé du coin. Cela peut être le petit boui-boui qui va vous proposer une expérience unique dans un cadre idyllique, par exemple. »

Même son de cloche pour les autres catégories qui complètent le site comme les meilleures librairies, les galeries d’art, les musées ou monuments à voir ou encore les lieux de shopping. « Là encore, nous ne ferons aucune compromission commerciale. Ce sont des choix subjectifs que nous effectuons avec l’aide de nos ambassadeurs : des personnes que l’on connaît, personnel navigant ou très grands voyageurs qui partagent notre curiosité et notre envie de faire découvrir. Ils ont la possibilité de donner leurs bonnes adresses et de valider les découvertes proposées par chaque membre », poursuit le pilote, qui comptabilise 13000 heures de vol et vingt-cinq ans aux commandes d’un avion.

Un connaît où déguster le meilleur cheese-cake à New York, un autre la meilleure viande à Buenos Aires, ou bien où danser la salsa à Bogotá... Lacroûte & Buffet constitue ainsi le parfait portail pour préparer son voyage.

Encore en phase de lancement, le site compte déjà plusieurs milliers d’adhérents. Et les deux compères comptent bien ne pas s’arrêter là. Une boutique en ligne devrait être mise en place. « Elle permettra d’acheter, par exemple, des épices de la petite boutique du marché de Delhi ou les ingrédients et les ustensiles pour réaliser les recettes du monde que nous distillons », indique Jean-Michel Buffet. Embarquement immédiat!
http://www.lacrouteetbuffet.fr/

mercredi 13 mars 2013

El Avion Fallero - Valencia, Espagne

64 valencianos residentes en otros países del mundo vuelven a casa por Fallas 2013. La Generalitat de Valencia puso en marcha, un año más, el famoso avión fallero que volvió a Valencia desde Argentina, Venezuela, Chile, Perú, Francia y Estados Unidos.
El avión fallero lleva cinco años acercando a los valencianos del mundo a su fiesta, a las fallas. Colaboran en su organización los Centros Valencianos en el Exterior. Las Fallas son de Valencia, pero están en todo el mundo.

La Generalitat de Valencia met en place "l'avion Fallero", destiné à amener à Valencia, des expatriés du monde entier pour leur permettre d'assister aux célèbres Fallas.

une tradition des années 1960

 avec à l'époque un bateau qui ramenait des Valenciens depuis le Brésil, Chili, Uruguay, Argentine.

Michael Mucci illustrateur



mardi 12 mars 2013

acuité visuelle Edwards AFB

Le complexe des hommes......



Complexé par son ventre, il manque de mourir en avion.

Chen se souviendra longtemps de l’effet que lui font les belles femmes. La dernière fois qu’il en a admiré une, ce Chinois de 40 ans s’est fait tellement discret qu’il aurait pu... en mourir.
La presse chinoise a raconté dimanche la mésaventure qui est arrivée à leur compatriote à bord d’un avion. Car en voyant s’asseoir à ses côtés une très jolie passagère, Chen n’a pas osé bouger durant les cinq heures du vol.
Tétanisé par la jeune femme, le quadragénaire n’a pas voulu se nourrir, ni boire, ni même aller aux toilettes. C’est seulement après l’atterrissage qu’il a essayé de se lever et s’est effondré en perdant connaissance.
Selon les secours, Chen a souffert du syndrome de la «classe économique», qui touche les gens qui restent immobiles. Un malaise qui aurait pu s’avérer fatal en provoquant une embolie pulmonaire. Remis de cet excès de discrétion, il a confié au personnel médical qu’il est resté immobile car il était «complexé par son ventre» devant sa voisine si parfaite.

lundi 11 mars 2013

Léon, le Boeing B747 Air Gabon à Nice

7 Juillet 1990 : "on peut pas faire mieux pour voir les avions..." a dit Saonah

Hôtesse de l'air à 73 ans

Elle prend sa retraite après 53 ans de service et plus de 8 000 journées de vols autour du globe.
Barbara Beckett a pris sa retraite après 53 ans de service au sein d’American Airlines. Son dernier vol a été l’occasion pour la compagnie aérienne d’organiser une belle cérémonie à Miami FL pour le départ de son hôtesse de l’air ayant la plus importante ancienneté au sein de la compagnie aérienne. C’est lors de sa dernière rotation entre Miami FL et Londres qu’elle a mis un point final à sa carrière de PNC.

Tout a commencé le 29 juillet 1960 quand elle a terminé son entraînement d’hôtesse de l’air et a reçu ses ailes. Les hôtesses devaient avoir moins de 32 ans, être célibataire et plutôt jolie. À cette époque on pesait les hôtesses de l’air pour être certain qu’elles ne prenaient pas de poids !
Une autre époque, d’autres mœurs. À 73 ans et avec 53 ans de service elle mérite bien sa retraite. Elle souhaite d’ailleurs en profiter pour voyager plus !
Merci, Saonah